Mel Brooks : Géant du Cinéma

Publié le par mathieu

Mel Brooks

 

 

De son vrai nom Melvin Kaminsky, Mel Brooks, né en 1926, est un géant du cinéma extravagant, parodique, loufoque… où l’humour le plus fin cottoie le plus grossier, où le politiquement correct est balayé avec virtuose et où l’absurde, élevé au rang d’art, devient plus que génial.

 

Mais attention, ne limitons pas les films de Mel Brooks a leur côté gag. Dans la plupart, on y voit en filigrane une critique de la société, du racisme, de l’exploitation, des inégalités… Il ose rire sans tabou de sujets qu’ils le sont, en les abordant… à sa manière. (Il faut voir les films pour comprendre).

 

Sinon Mel Brooks est acteur (18 films), réalisateur (11 films), compositeur (9 films), scénariste (15 films), parolier (9 films) et producteur (15 films).

 Il est notamment le producteur de La Mouche et d’Eléphant Man, prête sa voix au dessin animé Le Prince d’Egypte et au film d’animation Robots et a participé à l’élaboration de la série Max la Menace.

 Rappelons aussi qu’il est l'un des rares artistes à avoir remporté les quatre trophées les plus prestigieux de l'industrie du spectacle US : l'Oscar, le Tony Award, l'Emmy Award et le Grammy Award.

Voici la liste de ses 11 réalisations (à voir absolument) : 

  • 1968 : Les Producteurs (The Producers)
  • 1970 : Le Mystère des douze chaises (The Twelve Chairs)
  • 1974 : Frankenstein Junior (Young Frankenstein)
  • 1974 : Le shérif est en prison (Blazing Saddles)
  • 1976 : La Dernière Folie de Mel Brooks (Silent Movie)
  • 1977 : La Grand Frisson (High Anxiery)
  • 1981 : La Folle Histoire du monde (History of the World: Part 1)
  • 1987 : La Folle Histoire de l'espace (Spaceballs)
  • 1991 : Chienne de vie (Life Stinks)
  • 1993 : Sacré Robin des bois (Robin Hood : Men in Thights)
  • 1995 : Dracula, mort et heureux de l'être (Dracula: Dead and Loving it)

 Je vous invite donc à voir ces films, cultes pour certains (à mes yeux en tout cas)

 

 En fait Mel Brooks est un Géant du Cinéma tout court.

 

Mateo, je sais qu’il y a du bon et du moins bon chez Mel Brooks, mais moi je suis un fan hurluberlu.

Publié dans portrait

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